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L'histoire !



Cornas - Les ruines de Crussol

Préambule

Sauvé par sa qualité séculaire


En 1874, Amédée Pichot parle des vins de Cornas en ces termes :
« Le paysage rit et chante ; il est gai, crépitant comme le vin qu’on y récolte. Ce vin possède toutes les qualités qui ont fait la célébrité de l’Ermitage ; et le Saint-Joseph, le Cornas sont bus aujourd’hui sous ce nom, sans que les dégustateurs les plus habiles puissent découvrir la fraude ».

Cette réputation paradoxale d’un vin de très bonne qualité mais qui reste dans l’ombre de certains vignobles va se poursuivre avec l’épreuve du phylloxéra. En 1883, le vignoble de Cornas semble encore en meilleure santé que ses vignobles voisins de la rive droite du Rhône comme nous l’indique un témoignage paru dans La Vigne américaine et la culture de la vigne en Europe : « Tandis que, sur la rive gauche du Rhône, on aperçoit les coteaux de Serves, de Tain, de l’Ermitage dénudés de vignes, sauf quelques parcelles dans les bas fonds, le vignoble de Saint-Joseph sur la rive droite du Rhône reste encore net sur une grande étendue. Il en est de même du riche vignoble de Cornas ». Fort heureusement, le vignoble de Cornas doit sa renaissance à son ancienneté. La grande majorité des vignobles de l’Ardèche détruits durant la crise phylloxérique n’ont pas été systématiquement reconstruits, par manque de moyens sans doute. Seuls ont été reconstitués avec ferveur, selon le type ancien, les terroirs jouissant d’une réputation séculaire comme ceux de Cornas et de son voisin immédiat Saint-Péray. Le vignoble de Cornas semble sauvé, il ne reste plus qu’à le défendre, le protéger et le promouvoir. Dès le début du XXe siècle, une Société des Viticulteurs et des Négociants en vins des Côtes-du-Rhône voit le jour avec pour principal objectif de « faire connaître et porter au loin la renommée des excellents vins et des crus des Côtes-du-Rhône ». Ce fut le combat d’un personnage loué par ses pairs : Marius Cherpe. En témoigne ce texte nécrologique paru lors de sa disparition dans le Bulletin de la Société d’Archéologie de la Drôme en 1918 : « Son amour pour la terre natale donna à sa vie une impulsion féconde, en l’orientant vers un objectif où il se dépensa sans mesure : faire connaître et apprécier les vins des grands crus de la vallée du Rhône, Côte-Rôtie, Crozes, Hermitage, Mercurol, Saint-Joseph, Cornas, Saint-Péray, pour n’en pas citer d’autres. Il avait organisé un syndicat, dont il était le président désintéressé, et ce syndicat n’avait en vue que la vente des vins récoltés par les propriétaires ». C’était la première pierre sur laquelle allait se reposer l’Institut national des appellations d’origine (Inao), pour protéger les vignobles dès 1936 et celui de Cornas en 1938.




1938 - 1947

La reconnaissance enfin !


Marius Cherpe avait ouvert la voie à une nouvelle ère pour protéger la qualité des vins. Deux ans plus tard, en 1938, Joseph Capus devenait le premier président du CNAO alors que, dans le même temps, une appellation d’origine contrôlée (AOC) est attribuée pour la première fois à un fruit et non à un vin : la noix de Grenoble.

Cette même année, le décret de l’AOC Cornas est publié au Journal Officiel.


Composé initialement de huit articles, il marquait le début d’une nouvelle aventure : celle de la reconnaissance à sa juste valeur, enfin !, d’un vin de grande qualité. L’article premier est d’ailleurs explicite : « Seuls ont droit à l’Appellation Contrôlée Cornas, les vins rouges qui, répondant aux conditions ci-après, ont été récoltés sur le territoire de la commune de Cornas à l’exception des parcelles situées sur alluvions modernes et sur terrain de plaine ».


Symbole ou évidence, la décennie qui suivit connut des grands millésimes avec les 1942 et 1943, voire excellent avec le 1946 et même exceptionnels avec les 1945 et 1947. Ceci contrastait avec le contexte général de la Deuxième guerre mondiale et de l’occupation allemande. À la mort de Joseph Capus en 1947, le CNAO devient l’INAO avec pour président le Baron Leroy de Boiseaumarié. La période de chaos laissait place à une période d’embellie qui ne pouvait être que favorable à l’AOC Cornas.



Dauphiné Libéré, Lundi 3 Décembre 1956

1948 - 1957

Fraternité et promotion


Après la Deuxième guerre mondiale vinrent des années de fraternité, de paix et de coopération. Les nations signent la Déclaration des droits de l’homme en 1948 et les Traités de Rome en 1957 qui posent les bases de la future Communauté Économique Européenne. Cette période d’après-guerre est également une période de renaissance économique avec la reconstruction, la modernisation et le début de la consommation de masse.

À l’échelle locale, plusieurs initiatives témoignent de ce renouveau. Une poignée de viticulteurs passionnés et engagés croient à leur appellation. Georges Bessenay est de ceux-là.


Différentes coopératives sont créées. En 1952, la Cave coopérative de Cornas voit le jour. Son siège est situé rue du Ruisseau ! Elle a pour objet, selon l’article 3 de ses statuts : « la vinification et la vente des vins provenant exclusivement des vignobles des sociétaires ».

En 1953, naît la Cave Coopérative de Vieillissement et de Champagnisation de Saint-Péray-Cornas. Son siège social est situé route de Lyon à Saint-Péray. Elle a pour objet selon l’article 3 de ses statuts : « le vieillissement, la champagnisation et la vente en communs des vins de ses adhérents ».
En 1956 enfin, des propriétaires agriculteurs de Cornas décident de créer une Coopérative d’Utilisation du Matériel Agricole ou CUMA.

La qualité des vins de Cornas continue de surfer sur la vague de la décennie précédente. Toutes les conditions semblent donc réunies pour réaliser des grands vins. Sept années se partagent les bons millésimes 1955 et 1956, le très bon 1950, les grands 1949, 1952 et 1956 et le très grand 1957.

Il est temps alors d’envisager la promotion de l’AOC. Ce sera l’objectif principal du premier salon des Vins organisé le 1er dimanche de décembre 1956 dans la salle de l’oeuvre de Cornas, à l’initiative de la Confrérie de la Syrah et de la Roussette nouvellement créée.

Georges Bessenay, né en avril 1925, devient président de la CUMA Viticole de Cornas lors de sa création en 1956. Il participe également à la constitution de la Coopérative Agricole d'Oenologie en 1958 et à la Coopérative d'Exploitation du Sol en 1959. L'oeuvre de Georges Bessenay tient également dans la constitution de la Confrérie de la Syrah et de la Roussette dont il est le président-fondateur. À la suite de son décès, une réunion extraordinaire se tient le 19 juin 1971 durant laquelle les confrères prononcent ces mots : « La Confrérie de la Syrah et Roussette est vivante, bien vivante ». Les témoignages successifs du Grand Maître, Guy de Barjac, du Grand Chambellan Pierre Giry et du Grand Argentier Roland Came se rejoignent autour d'une idée : l'oeuvre de Georges Bessenay doit lui survivre : « Ce doit être notre façon à nous d’honorer et perpétuer la mémoire de son cher président fondateur. [...] Nous lui devions cela par amitié, par reconnaissance. Il assuma au sein de notre Confrérie, toutes les fonctions, avec un tel dévouement ».



Bulletin de la Confrérie des Chevaliers de Syrah-Roussette, Année 1973

1958 - 1967

La syrah et rien d’autre


Deux événements sont à retenir à l’échelle mondiale pour l’année 1958 : l’Arrangement de Lisbonne voit la politique de l’INAO essaimer avec 27 pays militant pour la protection des Appellations ; et l’entrée en vigueur des Traités de Rome signés l’année précédente. Dès 1962, la CEE détermine les grandes lignes de la politique agricole commune ou PAC ainsi que l’Organisation Commune du Marché Viniviticole.

À Cornas, l’article 2 du décret du 5 août 1938 met en avant l’unique cépage toléré et autorisé pour son appellation : « Les vins rouges ayant droit à l’appellation contrôlée Cornas devront provenir exclusivement du cépage Syrah ».

Certes, la culture de la Syrah existait depuis longtemps déjà, comme nous pouvons le lire dans une correspondance de 1842 adressée à Monsieur Decazes, grand référendaire de la chambre des pairs à Paris : « Sirah noir : c’est un des meilleurs vins de France, au coteau de l’Hermitage (Drôme) encore très bon, à Cornas, à Saint-Joseph et autres coteaux des bords du Rhône, Ardèche. Sa grappe est de grosseur moyenne ainsi que son grain, sa maturité de moyenne saison, on le connait aussi sous le nom de Siranne ».

Signe de reconnaissance de ce cépage, la Confrérie créée en 1956 s’en approprie le nom : Confrérie des Chevaliers de la Syrah et de la Roussette.


Son objectif est « de réunir pour la journée du vin à Cornas, et en toutes occasions jugées utiles, tous ses membres qui uniront leurs efforts pour assurer la propagande et la prospérité des vins issus des plants nobles “Syrah et Roussette” dont la valeur et les qualités doivent aller crescendo. Enfin, encourager les viticulteurs et les inciter à s’engager résolument dans cette voie ».

Durant cette décennie, Cornas continue sa Journée du vin, portée par les bonnes récoltes et ses références qualitatives avec des millésimes bons comme 1964, très bons comme 1958, 1966 et 1967, très grands comme 1959 et 1962 et excellent comme 1961. Certains d’entre eux seront d’ailleurs primés au Concours Général Agricole lors du premier Salon de l’agriculture organisé à Paris à l’initiative d’Edgar Pisani.



Archives départementales de l'Ardèche, fonds Cellard, 28 Fi 177

1968 - 1977

La vigne ou les maisons ?


En France, la décennie post 1968 connaît une période de forte urbanisation avec, entre autres, les grands travaux lancés par le président de la République Georges Pompidou, quelquefois appelé « Premier architecte de France ». La région de Cornas et son vignoble doivent également faire face à certaines difficultés. Jacques Eydaleine, grand maître de la Confrérie, alerte ainsi les hommes politiques locaux et lance un appel dans son éditorial du bulletin n° 3 de la Confrérie : « Mais, situé dans une région à fort développement démographique, la construction envahit allègrement le domaine viticole bien exposé, réduisant de plus en plus les exploitations ; et, autre problème aussi, le vieillissement des exploitants sans progéniture pour travailler la terre ».

Car l’enjeu est bien là : sauvegarder le vignoble de Cornas.


Jacques Eydaleine avait sans doute raison de s’inquiéter. Selon une enquête menée en 1854, le vignoble de Cornas occupait 128 hectares - il en comptera 84 en 1995 avant de remonter à 111 hectares en 2007. Le paysage de Cornas doit continuer à émerveiller comme il subjuguait Antonin Lugnier, poète et chansonnier local :

« Si j étais peintre ou géomètre
Je voudrais aller, dès demain,
Prendre un croquis de chaque mètre
Des lieux que vante mon refrain.
J’admirerais toutes les vignes,
Compterais tous les échalas,
Afin que mes couplets soient dignes
Des tonneaux qu’on remplit là-bas.

Aussi j’apporte mon suffrage
À ces trésors de notre sol
Ampuis, Tain, Cornas, Ermitage,
Condrieu, Saint-Péray, Crussol.»


La qualité des vins de Cornas reste homogène et régulière : l’on considère 1969, 1970, 1972 et 1976 comme de grands millésimes ; 1973 comme un très bon millésime et 1971 comme une bonne année.
Victime de son succès à différents niveaux, le marché aux vins de Cornas doit faire évoluer son organisation. En 1974, l’inauguration de la nouvelle salle des fêtes est l’occasion d’annoncer que le marché se déroulera dorénavant chaque premier week-end de décembre.



Cornas, Domaine Alain Voge, 1978

1978 - 1987

Coteaux et usages locaux


Cette décennie s'ouvre avec LE millésime du Millénaire...


Durant dix ans, se succèdent les très grands millésimes avec le 1983, les grands millésimes avec le 1986, les très bons milésimes avec les 1980 et 1982 et les bons millésimes avec les 1979 et 1980. Ce florilège résulte de ce qui est mentionné dans l’Article 6 du décret initial de l’AOC Cornas : « Les vins rouges ayant droit à l’appellation contrôlée “Cornas” devront provenir de raisins récoltés à bonne maturité et vinifiés conformément aux usages locaux ». Mais, sur cette terre composée essentiellement de coteaux, quels sont justement ces usages locaux ?

Pour nous éclairer, relisons encore Olivier de Serres car il fait référence : « Il y a un remède au défaut de la terre : mais c’est avec despense qu’on l’amendera. [...] Si la terre à Vigne est aquatique, l’eau en sera espuisée par trenchées ouvertes ou fermées [...]. Celle de la montaigne ou trop droite pente, sera adoucie par murailles traversantes, appellées bancs & colles, qu’à pierre sèche, pour l’espargne, on y bastira en plusieurs endroits, pres-a-pres l’une de l’autre, les tirans comme à niveau, pour retenir la terre, que les pluies & frequens labeurs n’avalent en bas ; pourveu que la commodité de la pierre, estant sur le lieu ou pres d’iceluy, favorise l’œuvre ».

Des cinq types développés par l’agronome dans les différents vignobles de France pour la conduite de la vigne sur ce type de sol, l’échalas - ou paisseau – retient notre attention : « Prenez cependant garde que vos nouveaux plants soyent toujours droitement tenus, sans estre renversez par aucun evenement, soit ou de la cheute de terre, ou pierre, ou de la violence des vents. Surquoi est à désirer avoir commodité de bois, pour fournir des petits paisseaux à suffisance, afin d’en mettre un à chacun cep, comme entre autres endroits l’on faits à Viviers en Vivarets, pour là fermement attaché, estre préservé de tout nuisible esbranlement ; & qu’ainsi, aidant à la ieunesse de la vigne, elle s’avance à s’accroistre tant plus, que moins en sera destournée ».

Aujourd’hui encore, le vigneron qui travaille dans le vignoble de Cornas s’inscrit dans cette tradition. Non seulement, il lui faut bien conduire la vigne tout l’année mais il doit également montrer des solides qualités de bâtisseur, à l’instar de ses ses illustres ancêtres.



Bulletin Municipal, Cornas Horizon 2000

1988 - 1997

Un pour tous, tous pour un !


« CORNAS un village, un cépage, une appellation »,


peut-on lire sous la photo qui fait la première page du bulletin municipal n° 2 d’octobre 1995. Cornas ose s’affirmer et s’identifier à son vignoble, enfin !
Encore une fois, les millésimes de cette décennie viennent appuyer cette affirmation : après 1978, l’année 1989 est considérée comme Millésime du Siècle ; 1990 reste exceptionnel, 1988 un très grand millésime. Et 1994, 1995, 1996 et 1997 sont de grands millésimes !



Bulletin Municipal, Cornas au pied des Coteaux, Mai 2003

1998 - 2007

Signature coteau


Désormais, nous entendons régulièrement « Cornas : un village, un cépage, une appellation » ; nous pourrions rajouter : « un coteau ». Car le charme de ce petit village vient tout particulièrement de ce fameux coteau, comme nous l’écrit Anne-Marie Sausset, Grande Dignitaire de la Confrérie Syrah et Roussette : « Étendu au pied d’un coteau entièrement complanté en cépages de premier choix, il produit un vin généreux, qui se distingue par son fumet et sa race. La remarquable exposition de son vignoble, son sous-sol, ainsi que les soins méticuleux apportés dans la taille, les traitements constants et la vinification de son vin charpenté, dont la réputation est grandement consacrée, placent Cornas dans une situation privilégiée. [...] Grâce à sa position géographique : 45° parallèle, à son ensoleillement total [...], notre circonscription viticole offre des vins de haute qualité rivalisant avec les plus grands noms ».

Le coteau signe de toute évidence le caractère de Cornas. Le bulletin municipal du village se nomme « Cornas, au pied des coteaux ».


Deux fresques créées en 2004 aux entrées sud et nord du village rappellent la fierté de ses habitants pour son village et son paysage.
Côté millésime, cette décennie reste extraordinaire. Tout d’abord avec 1998, millésime exceptionnel qui résonne tel un écho à la France championne du monde de football cette année-là. En 2000, la France devient la première nation à réaliser le doublé champion du monde/champion d’Europe, ce millésime qui vient tout juste de naître est consacré celui du siècle ! D’autres comme 1999 et 2007 seront de grands millésimes ; 2003, 2004 et 2006 de très grands millésimes et 2005 exceptionnel.



Bulletin Municipal, La Gazette de Cornas, Février 2010

2008 - 2017

La belle nature


Cette décennie s’annonce riche en événements. En 2008, une politique d’homogénéisation des régimes de protection des AOC est mise en place à l’échelle de l’Europe : l’AOC devient AOP, Appellation d’Origine Protégée.

Bien qu’existant depuis le XIXe siècle sous d’autres formes (notamment les célèbres routes des vins prônées par le Touring Club), l’oenotourisme, mêlant étroitement tourisme et vin, commence à se structurer depuis 2007, grâce notament au rapport Dubrule.

L’AOC Cornas inaugure en 2010 son « Sentier-Découverte » et s’enrichit d’un nouveau label : « Vignobles et Découvertes ».


En 2011, l’AOC Cornas est revue et corrigée. Le décret de 1938 est conservé dans sa grande majorité. Alors que certains articles sont réorganisés, d’autres apparaissent. Ils concernent essentiellement les nouvelles techniques de vinifications (Chap. I, art. 9), des mesures transitoires à la suite d’arrachage et de replantation (Chap. I, art. 11), et des obligations déclaratives (Chap. II, art. 1).
www.aoc-cornas.fr/aoc

Pendant ce temps, les producteurs de l’AOC continuent à produire de beaux millésimes : un bon 2013, de très bons 2008 et 2012, de grands 2010, 2014, 2016 et 2017, un très grand 2009, un excellent 2011et un exceptionnel 2015.



2018

l’aoc fête ses 80 ans !


L’AOC fête ses 80 ans et ce millésime s’annonce déjà comme très prometteur, voire très grand. La reconnaissance des vins de Cornas va crescendo. Les anciens ont durement œuvré pour cette place tellement méritée. Une nouvelle génération a pris le relais sous le regard bienveillant des grandes figures vigneronnes du village.

La transmission est en marche et Cornas n’a pas fini de surpendre…

Texte, Éric Permingeat, Historien, Conte moi un terroir
www.contemoiunterroir.fr




Sources
- Arch. Dép. Ardèche, 4 U 19
- Arch. Dép. Ardèche, 7 Mi 66
- Arch. Dép. Ardèche, PER 2052
- Arch. Dép. Ardèche, PER 2812

Bibliographie
- Olivier de Serres, Théâtre d'Agriculture et Mesnage des Champs, 1605.
- Guide pittoresque du voyageur en France, Tome 6, Paris, 1838.
- D Stramler, Guide de la Cave, Toulouse, 1866.
- La Vigne Américaine et la culture de la vigne en Europe, Mâcon, Janvier 1901.
- Bulletin de la Société d'Archéologie de la Drôme, Valence, 1918.
- Le Sommelier, Revue Mensuelle officielle et propriété exclusive de l'Union des Sommeliers de Paris, n° 128, 1934.

Dauphiné Libéré, 8 Décembre 1958
Dauphiné Libéré, 2 Décembre 1968